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Né à Montréal en 1947. Encore au collège classique, il réalise son premier cout métrage en 8 mm. Remarqué par Gilles Carle, «La mort vue par …» est diffusé sur radio-Canada. Fort de cet engagement, Forcier tourne en 1967 son second court métrage, «Chroniques labradoriennes». En 1971, il exprime les préoccupations des jeunes Québécois avec son premier long métrage, «Le retour de l’immaculée conception», tourné en noir et blanc. Mais il doit son premier succès critique à «Bar salon», qui obtient une Sirène d’Argent au Festival de Sorrente. Pour ce film, il fait appel à Guy l’Ecuyer, qui sera en quelque sorte son comédien fétiche jusqu’à la disparition de celui-ci et à Jacques Marcotte, qui est depuis son scénariste attitré. En 1974, il aborde le moyen métrage avec «Night Cap», puis tourne en 1976 un de ses plus grands succès, «l’eau chaude, l’eau frette» avec Jean Lapointe. Ce film sera présenté dans une vingtaine de festivals à travers le monde, dont la Quinzaine des Réalisateurs. La même année, Forcier est l’un fes fondateurs de Cinéma Libre, une maison de distribution spécialisée dans le cinéma d’auteur québécois. Depuis, il a tourné «Au clair de la lune» en 1982 et «Kalamazoo» en 1988 qui obtient le prix Ouimet-Molson du meilleur film québécois de l’année. «Une histoire inventée», sorti fin 1990 a obtenu un énorme succès au Canada.

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