Manosolfa

Le film a été produit par le Ciné Club de Bélem, une association à but non lucratif, et le financement a été possible grâce à des séances exceptionnelles. La Cinémathèque du Musée d’Art Moderne de Rio a également collaboré à cette production, qui n’a bénéficié d’aucune subvention officielle.
Le titre choisi est un mot composé qui fait allusion au solfège ainsi qu’à ses signes : les notes. Le personnage central, en maîtrisant ces signes, c’est-à-dire en jouant différentes notes avec ses mains, exerce un pouvoir qui déclenche d’autres rêves dont les différents niveaux sont le sujet même du film.
Sandra COELHO DE SOUZA