Dancing in the Dark
Nous avons besoin de plus de compréhension les uns envers les autres. Lorque j’ai lu pour la première fois le roman de Joan Barfoot, Dancing in the Dark, j’étais complètement fasciné. J’avais l’impression de pénétrer dans l’univers intérieur d’une femme dont tout l’être et la façon de vivre m’étaient parfaitement étrangers. la sensation d’intimité que j’éprouvais était tout à fait saisissante. Je partageais les pensées de cette femme, ressentais ses émotions et comprenais ses actes – et même le dernier qui va transformer définitivement son existence et devenir le symbole de sa renaissance. Tout ceci était parfaitement logique de son point de vue. Nous avons tous lu un jour ou l’autre ce genre d’histoires et sommes restés en arrêt devant la photo dans le journal, remplis d’une fascination morbide, nous demandant ce qui a bien pu se passer dans la tête de quelqu’un pour en arriver là. Après avoir lu le livre, j’avais l’impression de comprendre pourquoi Edna Cormick, la parfaite maîtresse de maison, avait commis cet acte. Son univers était encore bien loin du mien, mais elle ne m’était plus étrangère. Leon Marr
Fiche artistique & technique
Martha Henry
Neil Munro
Richard Monette
Rosemary Dunsmore
Scénario
Leon Marr, d'après le roman de Joan Barfoot "Dancing in the Dark"
Image
Vic Sarin
Son
Urmas Rosin
Montage
Tom Berner
Production : Film Arts, Toronto, Canada Vente à l'tranger : Simcom Limited, Toronto, Canada