Le combat contre la censure se poursuit : le film du philippin Mike de Leon, Batch 81, présenté cette année-là, ne subit pas moins de 27 coupures avant d'être présenté dans son pays. Quant à Ali Ozgenturk, il ne peut voir son film à Cannes, puisqu'il est détenu dans une prison turque pendant que la Quinzaine projette At.